Citations " La Passion"

Sandrine Sam 4 Avr 2009 - 22:11

« Considérez mes Plaies et voyez si vos douleurs peuvent approcher jamais de Celles que j'ai endurées pour l'Amour des âmes. C'est là le chemin de la Vérité, et lorsque vous l'aurez connu, vous M'aiderez à pleurer les péchés de ces âmes. »

Notre-Seigneur à sainte Thérèse

Sandrine Sam 4 Avr 2009 - 22:12

« Une courte méditation, bien faite, sur la Passion du Sauveur, vaut plus que si l'on faisait, pendant une année entière, de rudes pénitences, et si l'on récitait chaque jour de cette année le Psautier. »

Saint Albert le Grand

Sandrine Sam 4 Avr 2009 - 22:15

« Quand l'homme compatit à la Passion de mon très-cher Fils, il applique une rose fraîche sur ces Plaies, et il en part un trait d'Amour qui fait dans son âme une blessure de Salut. »

La très-sainte Vierge Marie à sainte Mechtilde

Sandrine Sam 4 Avr 2009 - 22:18

« Jésus, Sauveur des hommes, souvenez-Vous que vos Plaies sacrées nous donnent le droit de Vous demander ce que nous désirons. Secourez-nous donc, je Vous en conjure, par les Plaies adorables qui Vous ont été faites pour nous sur la Croix. »

Saint François-Xavier obtenait toujours des miracles par cette prière

Sandrine Sam 4 Avr 2009 - 22:19

« Si j'avais cent langues, je ne viendrais pas à bout d'expliquer la valeur du plus petit acte de vertu fait en union de la Passion. »

Sainte Véronique Juliani

Sandrine Sam 4 Avr 2009 - 22:23

Dieu révéla à saint Macaire qui, par un prodige de pénitence et d'humilité, passa 70 ans, « qu'il n'était pas encore arrivé au degré de mérite et de perfection de deux femmes mariées pratiquant un grand détachement de coeur, n'aimant que Dieu et le prochain, regardant leurs maisons comme des monastères, et vivant dans le monde dont leurs maris n'avaient pas voulu qu'elles se séparassent, en unissant intérieurement toutes leurs actions aux Blessures adorables du Rédempteur. »

Sandrine Sam 4 Avr 2009 - 22:25

« Une seule larme sur la Passion de Jésus-Christ vaut plus qu'un pélerinage à Jérusalem et qu'une année de jeûne au pain et à l'eau. »

Saint Augustin

Monique Mar 14 Avr 2009 - 19:01

L'homme était créé pour le ciel. Le démon a brisé l'échelle qui y conduisait. Notre-Seigneur, par sa passion, nous en a reformé une autre... La Très Sainte Vierge est en haut de l'échelle, qui la tient à deux mains.

CURÉ D'ARS

ROBERT. Mar 14 Avr 2009 - 20:18

Gratis pro Deo a écrit: « Une seule larme sur la Passion de Jésus-Christ vaut plus qu'un pélerinage à Jérusalem et qu'une année de jeûne au pain et à l'eau. »

Saint Augustin

« Une seule larme sur la Passion de Jésus-Christ vaut plus qu'un pélerinage à Jérusalem et qu'une année de jeûne au pain et à l'eau. »

Saint Augustin

Monique Ven 17 Avr 2009 - 4:33

Ne pleurez pas sur moi, nous dit-il ; je n'ai que faire de vos soupirs ni de votre tendresse inutile. Pleurez, pécheurs, pleurez sur vous-mêmes.

BOSSUET

Monique Mar 21 Avr 2009 - 23:28

Jésus... vous avez voulu être notre caution, vous avez pris sur vous nos iniquités; vous en porterez tout le poids; vous payerez tout du long la dette, sans remise, sans miséricorde...
De son chef il ne devait rien; mais hélas ! c'est pour vous, c'est pour moi qu'il paye. Nous... nous n'avons rien à donner, nous sommes entièrement insolvables; c'est lui seul qui doit tout porter sur ses épaules - Eh ! du moins donnons-lui des larmes..

BOSSUET

Monique Jeu 23 Avr 2009 - 5:06

Lui qui est la Sagesse éternelle... se voyant arrivé aux temps des douleurs, a bien voulu leur lâcher la bride et les laisser agir dans toute leur force. Il a marché dessus, il est vrai avec une contenance assurée, mais cependant les flots étaient soulevés; toute son âme en était troublée, et elle sentait jusqu'au vif... tout le poids de l'ennui, toutes les secousses de la crainte, tout l'accablement de la tristesse. Ne croyez donc, pas Chrétiens, que la constance que nous adorons dans le Fils de Dieu ait rien diminué de ses douleurs; il les a toutes surmontées, mais il les a toutes ressenties; il a bu jusqu'à la lie tout le calice de sa Passion, il n'en a pas laissé perdre une seule goutte...

De là cette crainte et cet ennui, de là cet abattement et cette langueur qui le pressent si violemment qu'il est contraint de dire à ses apôtres : "Mon âme est triste jusqu'à la mort; demeurez ici, ne me quittez pas"...
C'est le poids de nos péchés qui le presse, et qui à peine lui permet de respirer...
De quelque côté qu'il tourne les yeux, il ne voit que des torrents de péché qui viennent fondre sur sa personne...

Un homme à la chute de plusieurs torrents : ils le poussent, ils le renversent, ils l'accablent...
Pécheur superbe et rebelle, regarde Jésus-Christ en cette posture : parce que tu marches la tête levée, Jésus-Christ a la face contre terre.

BOSSUET

Monique Mer 29 Avr 2009 - 4:47

Ne voyez-vous pas qu'il parle en tremblant, comme chargé des péchés du monde !... Autrefois un mot suffisait pour être assuré de tout emporter; il disait en un mot : "Père, je le veux"... maintenant que le Fils unique est couvert et enveloppé sous le pécheur, il n'ose plus en user si librement.

O Jésus ! chargé de tous les péchés, dussiez-vous fondre en eau tout entier, vous n'avez pas assez de larmes pour fournir ce qu'il faut à tant de crimes.

L'eussiez-vous cru, pécheur, eussiez-vous cru que votre péché eût une si grande et si malheureuse puissance ? Si nous ne voyions défaillir le divin Jésus qu'entre les mains de ses bourreaux, nous n'accuserions de sa mort que ses supplices; maintenant que nous le voyons succomber dans le jardin des Oliviers, où il n'a que nos péchés pour persécuteurs, accusons-nous nous-mêmes de ce déicide; pleurons..

BOSSUET

Monique Ven 1 Mai 2009 - 1:04

Être attaché à la croix, c'est subir le supplice des malfaiteurs, mais porter soi-même sa croix, c'est confesser publiquement que l'on en est digne...
C'était une espèce d'amende honorable, et comme un aveu public du crime...
Les hommes lui imposent ( à Jésus ) des crimes qu'il n'a pas commis; mais Dieu a mis sur lui nos iniquités, et voilà qu'il va en faire amende honorable à la face du ciel et de la terre...
En la chargeant ( la croix ) il se charge et se revêt de nouveau de tous les crimes du monde pour les aller expier sur ce bois infâme.

BOSSUET

Monique Mar 2 Juin 2009 - 23:28

La cruauté de ce supplice et tous les autres tourments... ne sont qu'un songe... en comparaison des douleurs, de l'oppression, de l'angoisse que souffre l'âme du divin Jésus sous la main de Dieu qui le frappe... Le grand coup du sacrifice de Jésus-Christ, qui abat cette victime publique aux pieds de la justice divine, devait être frappé sur la croix et venir d'une plus grande puissance que de celle des créatures...
Il fallait donc, qu'il vint lui-même contre son fils avec tous ses foudres, et puisqu'il avait mis en lui nos péchés, il devait mettre aussi sa juste vengeance.

BOSSUET

Monique Jeu 25 Juin 2009 - 3:56

C'est ce qui se faisait à la croix, jusqu'à temps que le Fils de Dieu, lisant dans les yeux de son Père qu'il était entièrement apaisé, vit enfin qu'il était temps de quitter le monde.

Ne pleurez pas sur moi, nous Jésus ; je n'ai que faire de vos soupirs ni de votre tendresse inutile. Pleurez, pécheurs, pleurez sur vous-mêmes.

BOSSUET

Monique Sam 4 Juil 2009 - 1:16

Le pécheur a mérité par son crime d'être livré aux mains de trois sortes d'ennemis. Le premier ennemi, c'est lui-même; son premier bourreau, c'est sa conscience, dit saint Augustin... Il faut, en second lieu, que les autres créatures soient employées pour venger l'injure de leur Créateur.
Mais le comble de sa misère, c'est que Dieu arme contre lui sa main vengeresse..

BOSSUET

Monique Ven 7 Aoû 2009 - 4:12

Jésus... vous avez voulu être notre caution, vous avez pris sur vous nos iniquités; vous en porterez tout le poids; vous payerez tout du long la dette, sans remise, sans miséricorde...
De son chef il ne devait rien; mais hélas ! c'est pour vous, c'est pour moi qu'il paye. Nous... nous n'avons rien à donner, nous sommes entièrement insolvables; c'est lui seul qui doit tout porter sur ses épaules - Eh ! du moins donnons-lui des larmes...

BOSSUET

gabrielle Ven 7 Aoû 2009 - 15:43

La vie a perdu sa tristesse, depuis que, baigné d'une sueur de sang et dans les transes de l'agonie, Jésus s'est crié: Mon âme est triste jusqu'à la mort!.

Imitation de Jésus-Christ Liv III chap XIX

Monique Mer 12 Aoû 2009 - 2:15

Lui qui est la Sagesse éternelle... se voyant arrivé aux temps des douleurs, a bien voulu leur lâcher la bride et les laisser agir dans toute leur force. Il a marché dessus, il est vrai avec une contenance assurée, mais cependant les flots étaient soulevés; toute son âme en était troublée, et elle sentait jusqu'au vif... tout le poids de l'ennui, toutes les secousses de la crainte, tout l'accablement de la tristesse. Ne croyez donc, pas Chrétiens, que la constance que nous adorons dans le Fils de Dieu ait rien diminué de ses douleurs; il les a toutes surmontées, mais il les a toutes ressenties; il a bu jusqu'à la lie tout le calice de sa Passion, il n'en a pas laissé perdre une seule goutte...
De là cette crainte et cet ennui, de là cet abattement et cette langueur qui le pressent si violemment qu'il est contraint de dire à ses apôtres : "Mon âme est triste jusqu'à la mort; demeurez ici, ne me quittez pas"...

BOSSUET

Monique Ven 14 Aoû 2009 - 4:21

C'est le poids de nos péchés qui le presse, et qui à peine lui permet de respirer...
De quelque côté qu'il tourne les yeux, il ne voit que des torrents de péché qui viennent fondre sur sa personne...
Un homme à la chute de plusieurs torrents : ils le poussent, ils le renversent, ils l'accablent...
Pécheur superbe et rebelle, regarde Jésus-Christ en cette posture : parce que tu marches la tête levée, Jésus-Christ a la face contre terre.

BOSSUET

Monique Dim 16 Aoû 2009 - 3:07

Ne voyez-vous pas qu'il parle en tremblant, comme chargé des péchés du monde !... Autrefois un mot suffisait pour être assuré de tout emporter; il disait en un mot : "Père, je le veux"... maintenant que le Fils unique est couvert et enveloppé sous le pécheur, il n'ose plus en user si librement

BOSSUET

Monique Lun 24 Aoû 2009 - 5:05

O Jésus ! chargé de tous les péchés, dussiez-vous fondre en eau tout entier, vous n'avez pas assez de larmes pour fournir ce qu'il faut à tant de crimes.

BOSSUET

Monique Mar 25 Aoû 2009 - 5:22

L'eussiez-vous cru, pécheur, eussiez-vous cru que votre péché eût une si grande et si malheureuse puissance ? Si nous ne voyions défaillir le divin Jésus qu'entre les mains de ses bourreaux, nous n'accuserions de sa mort que ses supplices; maintenant que nous le voyons succomber dans le jardin des Oliviers, où il n'a que nos péchés pour persécuteurs, accusons-nous nous-mêmes de ce déicide; pleurons...

BOSSUET

Monique Mer 26 Aoû 2009 - 17:56

Il est écrit dans le livre de la Sagesse que toutes les créatures s'élèveront avec Dieu contre les pécheurs; et c'est le second fléau dont il menace ses ennemis. Notre saint, notre charitable, notre miséricordieux criminel a déjà essuyé la première peine : il s'est déjà tourmenté lui-même; le voici au second degré de la vengeance divine...

BOSSUET

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