Miel de pissenlit
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Anne-Marie- Nombre de messages : 278
Age : 34
Date d'inscription : 21/10/2009
Re: Miel de pissenlit
Je suis enclin à dire comme Anne-Marie: avant d'y plonger,
il ne faut que boucher yeux et oreilles !!
C'est vrai qu'en ce faisant, vous vous priverez d'un bruit assourdissant et d'une vue magnifique !
Dilemme donc...
ROBERT.- Nombre de messages : 896
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Miel de pissenlit
Bruno a écrit:Un superbe chêne dans un bien joli paysage...ROBERT. a écrit:.
Avez-vous son nom en passant ?
Merci Anne-Marie
Merci Bruno, je n'y connais rien (ou presque) en essences d'arbres..
Merci à vous Anne-Marie et Merci à vous pour ces magnifiques paysages.
Combien plus magnifique est le Dieu Créateur Trois fois Saint qui a créé ces merveilles !!
.
ROBERT.- Nombre de messages : 896
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Miel de pissenlit
ROBERT a écrit:Combien plus magnifique est le Dieu Créateur Trois fois Saint qui a créé ces merveilles !!
Tout à fait d'accord!
Anne-Marie- Nombre de messages : 278
Age : 34
Date d'inscription : 21/10/2009
Re: Miel de pissenlit
La dernière image est superbe.
gabrielle- Nombre de messages : 2043
Date d'inscription : 19/01/2009
Re: Miel de pissenlit
Oui, mais tu es sûr que tu ne préfèrerais pas une belle photo d'une 'tite souris?
Anne-Marie- Nombre de messages : 278
Age : 34
Date d'inscription : 21/10/2009
Re: Miel de pissenlit
Anne-Marie a écrit:
gabrielle a écrit:La dernière image est superbe.
Oui, cette photo est tout simplement magnifique ! On ne se lasse pas de la regarder, on voudrait même y être ! Ce mélange de dégradés de couleurs qui s'accordent parfaitement , c'est ... ouah !
Merci Anne-Marie
Sandrine- Nombre de messages : 1756
Date d'inscription : 24/08/2008
Re: Miel de pissenlit
Anne-Marie a écrit:Oui, mais tu es sûr que tu ne préfèrerais pas une belle photo d'une 'tite souris?
Non merci ma grande, la "tite souris" on va laisser faire...
gabrielle- Nombre de messages : 2043
Date d'inscription : 19/01/2009
Re: Miel de pissenlit
Ha bon, d'accord.
Anne-Marie- Nombre de messages : 278
Age : 34
Date d'inscription : 21/10/2009
Re: Miel de pissenlit
Si j'avais su je n'aurais pas tondu les pissenlits de mon jardin !!! J'aurais eu du bon miel à tartiner sur mes crêpes et pour sucrer mon !
Via Crucis- Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 18/10/2009
Re: Miel de pissenlit
Via Crucis a écrit:Si j'avais su je n'aurais pas tondu les pissenlits de mon jardin !!! J'aurais eu du bon miel à tartiner sur mes crêpes et pour sucrer mon !
Cependant, Via, soyez rassurée, ce n'est pas véritablement du miel.
Roger- Nombre de messages : 239
Date d'inscription : 19/10/2009
Re: Miel de pissenlit
..mais ça ce sont de véritables paysages, et des beaux !
...
" Ô mon Dieu ce matin je viens vous rendre grâces
En moulant dans ces vers ces quelques bouts de phrases
Pour ces bienfaits si grands et pour tant de beauté.
Si déjà la nature en ce monde est si belle,
Qu'en sera-t-il alors en la Vie éternelle
Où resplendit l'éclat de votre Trinité ! "
:
...
" Ô mon Dieu ce matin je viens vous rendre grâces
En moulant dans ces vers ces quelques bouts de phrases
Pour ces bienfaits si grands et pour tant de beauté.
Si déjà la nature en ce monde est si belle,
Qu'en sera-t-il alors en la Vie éternelle
Où resplendit l'éclat de votre Trinité ! "
:
Dernière édition par Roger le Mer 25 Aoû 2010 - 0:04, édité 1 fois
Roger- Nombre de messages : 239
Date d'inscription : 19/10/2009
Re: Miel de pissenlit
Roger a écrit:..mais ça ce sont de véritables paysages, et des beaux !
...
" Ô mon Dieu ce matin je viens vous rendre grâces
En moulant dans ces vers ces quelques bouts de phrases
Pour ces bienfaits si grands et pour tant de beauté.
Si déjà la nature en ce monde est si belle,
Qu'en sera-t-il alors en la Vie éternelle
Oû resplendit l'éclat de votre Trinité ! "
:
- Spoiler:
Je ne peux que redire votre beau poème:
" Ô mon Dieu ce matin je viens vous rendre grâces
En moulant dans ces vers ces quelques bouts de phrases
Pour ces bienfaits si grands et pour tant de beauté.
Si déjà la nature en ce monde est si belle,
Qu'en sera-t-il alors en la Vie éternelle
Oû resplendit l'éclat de votre Trinité ! "
ROBERT.- Nombre de messages : 896
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Miel de pissenlit
Pour le poème et les photos
Sandrine- Nombre de messages : 1756
Date d'inscription : 24/08/2008
Re: Miel de pissenlit
C'est vrai qu'il est beau ton poème papa.
Tien, je t'en donne cinq étoiles.
Tien, je t'en donne cinq étoiles.
Anne-Marie- Nombre de messages : 278
Age : 34
Date d'inscription : 21/10/2009
Re: Miel de pissenlit
Tant qu'a faire et pour vous faire plaisir, le voici au complet :
..........................Action de Grâces
Ma fenêtre est ouverte et les légers rideaux
Qui s'enflent doucement, ondulent en silence.
Dans l'air qui sent si bon, les enfants se balancent ;
On les entend chanter, rire sur le coteau.
Et dans le ciel on voit s'enfuir un blanc troupeau,
Tandis qu'une tignasse immense et verte danse
Au mouvement du vent qui souffle en abondance,
Donnant au paysage, un visage si beau.
O mon Dieu ce matin je viens vous rendre grâces
En moulant dans ces vers ces quelques bouts de phrases,
Pour ces bienfaits si grands, et pour tant de bonté.
Si déjà la nature en ce monde est si belle,
Qu'en sera-t-il alors en la Vie éternelle
Où resplendit l'éclat de votre Trinité !
.............................................................27.04.04
.
.........................
..........................Action de Grâces
Ma fenêtre est ouverte et les légers rideaux
Qui s'enflent doucement, ondulent en silence.
Dans l'air qui sent si bon, les enfants se balancent ;
On les entend chanter, rire sur le coteau.
Et dans le ciel on voit s'enfuir un blanc troupeau,
Tandis qu'une tignasse immense et verte danse
Au mouvement du vent qui souffle en abondance,
Donnant au paysage, un visage si beau.
O mon Dieu ce matin je viens vous rendre grâces
En moulant dans ces vers ces quelques bouts de phrases,
Pour ces bienfaits si grands, et pour tant de bonté.
Si déjà la nature en ce monde est si belle,
Qu'en sera-t-il alors en la Vie éternelle
Où resplendit l'éclat de votre Trinité !
.............................................................27.04.04
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Roger- Nombre de messages : 239
Date d'inscription : 19/10/2009
Re: Miel de pissenlit
Roger a écrit:Tant qu'a faire et pour vous faire plaisir, le voici au complet :
..........................Action de Grâces
Ma fenêtre est ouverte et les légers rideaux
Qui s'enflent doucement, ondulent en silence.
Dans l'air qui sent si bon, les enfants se balancent ;
On les entend chanter, rire sur le coteau.
Et dans le ciel on voit s'enfuir un blanc troupeau,
Tandis qu'une tignasse immense et verte danse
Au mouvement du vent qui souffle en abondance,
Donnant au paysage, un visage si beau.
O mon Dieu ce matin je viens vous rendre grâces
En moulant dans ces vers ces quelques bouts de phrases,
Pour ces bienfaits si grands, et pour tant de bonté.
Si déjà la nature en ce monde est si belle,
Qu'en sera-t-il alors en la Vie éternelle
Où resplendit l'éclat de votre Trinité !
.............................................................27.04.04
.
.........................
Merci Roger...
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ROBERT.- Nombre de messages : 896
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Miel de pissenlit
Quelle splendeur ! Quelle beauté ineffable de ces paysages !
Et que dire de votre poème dont le charme de ces vers est inexprimable.
Merci cher Roger de nous faire partager ces sublimes douceurs.
Et que dire de votre poème dont le charme de ces vers est inexprimable.
Merci cher Roger de nous faire partager ces sublimes douceurs.
Monique- Nombre de messages : 1600
Date d'inscription : 18/02/2009
Re: Miel de pissenlit
Monique a écrit:Quelle splendeur ! Quelle beauté ineffable de ces paysages !
Et que dire de votre poème dont le charme de ces vers est inexprimable.
Merci cher Roger de nous faire partager ces sublimes douceurs.
Je partage l'avis de Monique
Merci Roger
Sandrine- Nombre de messages : 1756
Date d'inscription : 24/08/2008
Re: Miel de pissenlit
Tiens ! je viens de lire cela sur TE DEUM, posté par Monique dans Spiritualité, liturgie et vie des saints :
Monique Aujourd'hui à 1:21
LA SURVIVANCE DES ŒUVRES
Au fond de toutes nos illusions gît toujours quelque chose de positif. Nos désirs qui s'égarent et vont à de chiméues (chimériques) objets, procèdent d'instincts vrais, déposés par Dieu au fond de nos consciences.
Ainsi, cette conviction invincible que nous ne mourrons pas, et qui se traduit par une si grande insouciance pratique à l'égard de notre mort, n'est rien autre que la persuasion intime de notre âme, qui a conscience de sa propre immortalité. Nous ne nous abusons point sur le fond, en nous croyant immortels : nous le sommes vraiment quant à notre personnalité, qui nous le crie d'ailleurs avec une force contre laquelle ne peut rien l'effrayante éloquence de la mort.
Toute notre erreur consiste seulement à changer l'objet de cette immortalité, et à considérer l'apanage de notre âme comme la fortune de notre corps, à croire celui-ci impérissable, parce que celle-là sent qu'elle vivra toujours.
Il y a plus : l'âme, immortelle dans sa substance, prétend encore à l'immortalité de ses œuvres. Avec cette invincible énergie de tout ce qui procède des profondeurs mêmes de la nature, elle veut, d'instinct, voir éternellement subsister ce qu'elle crée. Quiconque sent au fond de soi-même quelque génie, c'est-à-dire quiconque croit à son âme et vit par elle, ne peut pas se résigner à voir périr ce qu'il engendre, et rêve les acclamations de la postérité. Nous voudrions tous signer les frêles œuvres de notre esprit, avec le mot célèbre que le poète Horace écrivait à la dernière page de son livre : « J'ai élevé un monument plus indestructible que le bronze » (1).
Quoi donc! nous sommes par la pensée supérieurs à toute la création, et nous pourrions consentir à voir, sans sécher de jalousie, les chênes impassibles dont les années sont des siècles, et les rochers stupides pour qui les siècles sont des heures ? A quoi bon alors notre âme aurait-elle reçu de Dieu cette flamme : la pensée ; cette royale couronne : la liberté ; cette divine ivresse : le sentiment, si rien, au milieu de cette aveugle et brutale matière, ne doit être aussi éphémère qu'une pensée, aussi fugace qu'un vouloir, aussi vite envolé qu'une vibration de notre cœur !
(1) Hor. Od.
Extrait: ''LE LENDEMAIN DE LA VIE''
L'ABBÉ HENRY BOLO
PARIS, 1892.
_________________
http://messe.forumactif.org/spiritualite-liturgie-et-vie-des-saints-f8/la-survivance-des-ouvres-t2101.htm
Monique Aujourd'hui à 1:21
LA SURVIVANCE DES ŒUVRES
Au fond de toutes nos illusions gît toujours quelque chose de positif. Nos désirs qui s'égarent et vont à de chiméues (chimériques) objets, procèdent d'instincts vrais, déposés par Dieu au fond de nos consciences.
Ainsi, cette conviction invincible que nous ne mourrons pas, et qui se traduit par une si grande insouciance pratique à l'égard de notre mort, n'est rien autre que la persuasion intime de notre âme, qui a conscience de sa propre immortalité. Nous ne nous abusons point sur le fond, en nous croyant immortels : nous le sommes vraiment quant à notre personnalité, qui nous le crie d'ailleurs avec une force contre laquelle ne peut rien l'effrayante éloquence de la mort.
Toute notre erreur consiste seulement à changer l'objet de cette immortalité, et à considérer l'apanage de notre âme comme la fortune de notre corps, à croire celui-ci impérissable, parce que celle-là sent qu'elle vivra toujours.
Il y a plus : l'âme, immortelle dans sa substance, prétend encore à l'immortalité de ses œuvres. Avec cette invincible énergie de tout ce qui procède des profondeurs mêmes de la nature, elle veut, d'instinct, voir éternellement subsister ce qu'elle crée. Quiconque sent au fond de soi-même quelque génie, c'est-à-dire quiconque croit à son âme et vit par elle, ne peut pas se résigner à voir périr ce qu'il engendre, et rêve les acclamations de la postérité. Nous voudrions tous signer les frêles œuvres de notre esprit, avec le mot célèbre que le poète Horace écrivait à la dernière page de son livre : « J'ai élevé un monument plus indestructible que le bronze » (1).
Quoi donc! nous sommes par la pensée supérieurs à toute la création, et nous pourrions consentir à voir, sans sécher de jalousie, les chênes impassibles dont les années sont des siècles, et les rochers stupides pour qui les siècles sont des heures ? A quoi bon alors notre âme aurait-elle reçu de Dieu cette flamme : la pensée ; cette royale couronne : la liberté ; cette divine ivresse : le sentiment, si rien, au milieu de cette aveugle et brutale matière, ne doit être aussi éphémère qu'une pensée, aussi fugace qu'un vouloir, aussi vite envolé qu'une vibration de notre cœur !
(1) Hor. Od.
Extrait: ''LE LENDEMAIN DE LA VIE''
L'ABBÉ HENRY BOLO
PARIS, 1892.
_________________
http://messe.forumactif.org/spiritualite-liturgie-et-vie-des-saints-f8/la-survivance-des-ouvres-t2101.htm
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