Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus
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gabrielle
Catherine
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Catherine- Nombre de messages : 713
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Catherine- Nombre de messages : 713
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gabrielle- Nombre de messages : 2043
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Re: Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus
« Je suis reine au ciel. »
En septembre 1921, une jeune femme, mère de trois enfants, fut atteinte d'une grave maladie intérieur accompagnée de douleurs aiguës, qui la réduisit à une immobilité complète, le moindre pas provoquant aussitôt un redoublement de souffrances. Les spécialistes consultés reconnurent le danger de son état, mais n'indiquèrent d'autre remède qu'une opération très douloureuse, dont l'unique résultat serait de lui conserver une vie de peine et de complète inaction.
C'est alors que, visitant la malade, je lui remis un opuscule relatif à Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus ainsi qu'une relique, en lui conseillant de faire une neuvaine à cette puissante petite sainte. Elle commença sur-le-champ les prières, et chaque fois qu'elle les récitait, il lui semblait, m'avoua-t-elle, sentir la présence d'un être invisible qui l'entourait de sa tendre protection, et parfois même, elle se trouvait enveloppée d'un parfum de roses.
Néanmoins, les douleurs devenaient de plus en plus violentes. Un des professeurs déjà consultés fut appelé de nouveau, mais il ne sut que répéter son diagnostic précédent : il fallait d'urgence tenter une opération. Cette pénible décision redoubla la confiance de Mme X envers Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, et elle la conjura de venir à son secours. Or, cette même nuit, vers le matin, elle ressentit tout à coup la présence surnaturelle de sa céleste protectrice, et bientôt, elle vit apparaître une éblouissante lumière. La petite sainte portait des roses et lui dit : « Je suis reine au ciel. » En même temps, le doux parfum des fleurs qu'elle tenait à la main remplit toute la chambre. Aussitôt les souffrances de la malade disparurent, elle se leva dés le matin, se livra pendant toute la journée à ses obligations domestiques et, le soir, fit avec les siens une promenade de plus d'une heure. Il en fut de même pendant les jours qui suivirent. La semaine n'était pas écoulée qu'à la stupéfaction de tous, la privilégiée pouvait, sans l'ombre de fatigue, accompagner sa famille dans un pèlerinage exigeant une heure d'ascension en pleine montagne.
Depuis, elle ne conserve aucune trace des souffrances passées et jouit d'une excellente santé. Son cœur déborde de reconnaissance envers sa céleste Bienfaitrice.
Onorio Pugi,
Chanoine de la Basilique de Saint-Laurent.
(Extrait d' histoire d'une âme, Edition 1923, imprimerie St Paul.)
En septembre 1921, une jeune femme, mère de trois enfants, fut atteinte d'une grave maladie intérieur accompagnée de douleurs aiguës, qui la réduisit à une immobilité complète, le moindre pas provoquant aussitôt un redoublement de souffrances. Les spécialistes consultés reconnurent le danger de son état, mais n'indiquèrent d'autre remède qu'une opération très douloureuse, dont l'unique résultat serait de lui conserver une vie de peine et de complète inaction.
C'est alors que, visitant la malade, je lui remis un opuscule relatif à Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus ainsi qu'une relique, en lui conseillant de faire une neuvaine à cette puissante petite sainte. Elle commença sur-le-champ les prières, et chaque fois qu'elle les récitait, il lui semblait, m'avoua-t-elle, sentir la présence d'un être invisible qui l'entourait de sa tendre protection, et parfois même, elle se trouvait enveloppée d'un parfum de roses.
Néanmoins, les douleurs devenaient de plus en plus violentes. Un des professeurs déjà consultés fut appelé de nouveau, mais il ne sut que répéter son diagnostic précédent : il fallait d'urgence tenter une opération. Cette pénible décision redoubla la confiance de Mme X envers Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, et elle la conjura de venir à son secours. Or, cette même nuit, vers le matin, elle ressentit tout à coup la présence surnaturelle de sa céleste protectrice, et bientôt, elle vit apparaître une éblouissante lumière. La petite sainte portait des roses et lui dit : « Je suis reine au ciel. » En même temps, le doux parfum des fleurs qu'elle tenait à la main remplit toute la chambre. Aussitôt les souffrances de la malade disparurent, elle se leva dés le matin, se livra pendant toute la journée à ses obligations domestiques et, le soir, fit avec les siens une promenade de plus d'une heure. Il en fut de même pendant les jours qui suivirent. La semaine n'était pas écoulée qu'à la stupéfaction de tous, la privilégiée pouvait, sans l'ombre de fatigue, accompagner sa famille dans un pèlerinage exigeant une heure d'ascension en pleine montagne.
Depuis, elle ne conserve aucune trace des souffrances passées et jouit d'une excellente santé. Son cœur déborde de reconnaissance envers sa céleste Bienfaitrice.
Onorio Pugi,
Chanoine de la Basilique de Saint-Laurent.
(Extrait d' histoire d'une âme, Edition 1923, imprimerie St Paul.)
Débora- Nombre de messages : 58
Date d'inscription : 18/01/2009
Sandrine- Nombre de messages : 1756
Date d'inscription : 24/08/2008
Re: Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus
Mon ciel, je le passerai à faire du bien sur la terre ...
Débora- Nombre de messages : 58
Date d'inscription : 18/01/2009
Anne-Marie- Nombre de messages : 278
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Date d'inscription : 21/10/2009
gabrielle- Nombre de messages : 2043
Date d'inscription : 19/01/2009
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